Un adulte qui hausse le ton pour réclamer le silence transmet, sans le vouloir, la recette parfaite de l’effet boomerang. Les gestes du quotidien, même les plus insignifiants, s’impriment chez l’enfant avec une force que les mots, aussi bien choisis soient-ils, n’atteindront jamais. Quand les paroles avancent dans un sens mais que les actes bifurquent ailleurs, l’enfant, lui, retient la ...